Le snacking sucr?
Avec 222 millions d’occasions par semaine, il est clair que le snacking n’est pas un moment de consommation à négliger. Le snacking sucré est lui aussi très ancré dans les habitudes d’achat des consommateurs français, avec 1,2 milliards de passages en caisse en 2016. Et même si les foyers n’achètent pas plus de snacking sucré en 2016, leurs achats se valorisent avec +4,4€. Des opportunités à saisir donc pour les industriels du secteur : des français attirés par les innovations, et qui affichent un réel amour des marques nationales.
Dans ce contexte positif, les fabricants doivent cependant faire face à un enjeu de taille : répondre à des attentes et des comportements contradictoires. Les ménages français sont en quête de gourmandise mais aussi de sain, de naturel ; de grandes marques mais aussi de produits locaux… Autant de dilemmes auxquels s’ajoute un prérequis : la praticité, snacking rimant souvent avec nomadisme.
Quelles réponses apporter à ces dilemmes ? Comment s’adapter ? Comment couvrir tous les besoins ? Le stretching offre un axe de réponse possible à ces contradictions. Une stratégie qui passe notamment par le ciblage de nouveaux moments de consommation (au-delà du goûter, le « goûtard »), de nouveaux consommateurs (au-delà des enfants, les adultes et seniors) et de nouvelles implantations en rayon.
Cet article est issu de notre newsletter n°49.
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